Sur les deux millions de décédés de la Covid-19 dans le monde à ce jour, aucun cas de mort après une seconde infection n'est rapporté. Vous pensez bien que les grands média s'en seraient fait les gorges chaudes. Quelques secondes infections sont étudiées dans la littérature médicale, moins nombreuses que les doigts d'une main. Toujours moins graves que les premières, elles paraissent concerner soit un système immunitaire exceptionnellement déprimé, soit des personnels de santé particulièrement exposés et fatigués.
Les immunisés portent le même profil sanitaire et le même risque, que cette immunisation soit acquise naturellement ou par vaccin. Les médecins recommandent d'ailleurs de ne pas vacciner des personnes ayant eu la Covid-19 dans les mois précédents. En conséquence, il ne saurait y avoir de discrimination entre les deux catégories d'immunisés.
Ceux qui ont acquis une immunisation naturelle ont tout intérêt à en garder trace par un test sérologique après guérison. Ce test doit être inscrit dans un passeport sanitaire (et non vaccinal) au même titre que l'administration d'un vaccin. La discrimination des personnes naturellement immunisées constituerait un fiasco supplémentaire dont ni la France ni l'Europe n'ont besoin.
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